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Afin d’avoir des données plus régulière, cohérente et sur toutes les
années (2014 à 2022), les chiffres proposés sont uniquement récupérés
depuis la gare d’Agen.
Premièrement, on peut voir, en ne
nous référant pas à l’année des objets perdus, une véritable césure
entre les objets les plus perdus (bagagerie, appareils électronique,
papiers personnels, portemonnaie et vêtements) et les autres, les
moins perdus. Qu’est ce que cela peut signifier ?
Ce sont
les objets avec lesquelles on est le plus amené à manipuler qui sont
le plus souvent perdus (avec, bien entendu, les bagages en tête des
objets perdus).
On voit une réelle hausse des objets perdus en 2015. Cela peut
s’expliquer par l'ouverture d'une filiale à Shanghai et le
renforcement des positions du site en Australie et en
Nouvelle-Zélande. L’interface du site SNCF a aussi été repensée.
En
2018, on remarque un réel déclin des objets perdus, notamment à cause
des grèves des cheminots que connaît Agen.
En 2019, tout le
monde s’en rappelle, c’est le début de la pandémie mondiale, donc les
chiffres peinent à remonter. Ce n’est qu’à partir de 2021 que les
objets perdus se mettent à augmenter fortement, dû à la retombée de la
crise sanitaire.
Un graphique avec comme paramètre le temps,
cette fois-ci en semaines ou en mois, pourrait être intéressant afin
de voir l’influence des vacances et des saisons sur le nombre d’objets
perdus, et donc indirectement sur l’affluence.
Finalement, tous les chiffres suivent la même tendance, et les années
ne changent pas réellement la proportion d’objets perdus suivant leur
type.